LE P’TI PRINCE

Le P’ti Prince revisité dans sa forme hip-hop

 
  • PROPOS CHORÉGRAPHIQUE

    Bordé d’un univers poétique, le P’ti Prince est venu danser parmi les enfants. Danser parmi eux, pour partager un moment qui résiste à l’épreuve du temps. Un moment de danse, généreux comme un ciel étoilé, dense comme une montagne, afin qu’il résonne en l’adulte qu’ils deviendront un jour, et qu’il préserve une once de cette pulsion créative, propre à l’enfance, inhérente à la danse.

    Véritable invitation à voyager, le personnage, tombé du ciel, le regard entre la lune et les océans, entraîne les enfants vers un univers coloré musical, aux sensations fortes et aux gestes magiques et singuliers.

    Désespérément à la recherche de sa fleur, le P’ti Prince se lance à la conquête d’un monde dont le sens fuyant et glissant, se gagne et se conquiert. Avec spontanéité, avec poésie, et surtout avec amour, il s’offre à la rencontre de l’autre, à la découverte du monde des grands. Interactif, participatif, sur scène, se tisse petit à petit une vision altruiste des hommes et de leur existence.

  • Auteur/ metteur en scène : Mehdi Slimani

    Interprétation: Slyde L’Omalakane

    Mise en lumière : François-Xavier Guinnepain

    Animation vidéo : Fabrice Ramothe

    Composition Musicale : Walkman

    Costumes : Aline Bataille et Coline Fairfort

    Régie/Accessoiriste : Diana De Paoli

    Fresque: François Tworode

    Œil extérieur : Maria Costoso & Frédéric Retornaz

  • DOSSIER PRESSE

    FICHE TECHNIQUE

    PROPOSITION FINANCIÈRE

    MENTIONS LÉGALES

    Coproductions : La Ville de Bobigny, Artutti


    Résidences de création :
    Salle Pablo Neruda, Bobigny- sept 2017, Centre de Danse du Galion, Aulnay-sous-Bois- oct 2017, Centre National de la Danse, Pantin – nov 2017

    Crédit photo :

    Ines Guettari

    Marine Lebrun

    Roger Fusciardi

    Pascal Sonnet

Ode à l’imaginaire, j’ai souhaité incarner ce personnage lunaire, débordant d’amour pour l’autre, de ses rires, danses et mots justes, ce qui ne doit pas manquer aux enfants en passe de grandir.
— Mehdi Slimani, décembre 2017
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